Chapelle Saint-Laurent : Cet édifice, sauvé de la ruine dans les années 1970 et 1980, était à l'origine l'église d'un prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Genou. Sa restauration a notamment permis la remise au jour de fresques romanes exceptionnelles pour le département de l'Indre, consistant principalement en une Vierge en majesté (cul de four de l'abside) et un Christ bénissant en mandorle (chœur). Les vitraux : En décembre 1976 Colette Di Matteo, inspecteur des Monuments historiques, demande à Jean Mauret d’établir un devis pour la réalisation de trois vitraux losangés (1,5 m²) dans l'église prieurale Saint-Laurent, probablement pour les baies du chœur alors partiellement bouchées. Ces vitraux ne sont finalement pas réalisés.
Suite aux travaux de consolidation de l'édifice et à la restauration des peintures murales dirigés par l'architecte en chef des Monuments historiques Jean-Jacques Sill au début des années 1990, la question des vitraux est de nouveau posée. On hésite entre des vitraux losangés (devis de Daniel Auclert en mars 1994) et des créations (devis de Jean Mauret de décembre 1996, janvier 1998 et novembre 1999). Il s'agit dorénavant de fermer quatre baies du chœur. La facture attestant de l'exécution des vitraux par Jean Mauret est envoyée en décembre 2000 au propriétaire de l'église.